Le fait de gagner du temps, un coût indolore car lissé sur la durée du prêt ou encore bénéficier de conditions plus avantageuses et de l’accompagnement d’un expert… Les avantages de passer par un courtier sont nombreux si l’on veut mener à bien son dossier de financement. Et les courtiers en crédit négocié du réseau PresseTaux ne manquent pas d’arguments à ce sujet !
Passer par un courtier, c’est avant tout gagner du temps ! “Un point que je mets souvent en avant, c’est que je m’occupe de tout”, introduit Jimmy Barbellion, courtier PresseTaux à Blois. “Mes clients ne s’occupent de rien ! Ils gagnent non seulement du temps mais aussi de l’argent, d’autant plus dans un contexte où il faut présenter des dossiers archi complets aux banques… De plus, le coût de la prestation du courtier est inclus dans le financement, il est donc lissé dans le temps. Et puis le client est de toute façon gagnant puisqu’il obtient des conditions plus avantageuses, même si ça dépend aussi des profils des acquéreurs. En l’occurrence, les moins bons profils auront plus de chances d’avoir un prêt en passant par un courtier, et avec de meilleures conditions. Les très bons profils obtiennent de toute façon des conditions avantageuses mais le fait de passer par un courtier les préserve de toutes les démarches. Ils bénéficient de l’accompagnement d’un expert : par exemple, je mets en avant mon expérience de quatre ans de courtier après quinze années passées en banque, au service des particuliers et des professionnels.”
Magali Zeller, courtier PresseTaux à Dijon, complète : “Le courtier saura orienter ses clients vers la banque qui correspond le mieux à leurs profils et à leurs projets. Il peut parfois permettre d’éviter des refus de prêt en passant directement dans l’agence bancaire la plus à même de suivre le client, ou avec la bonne garantie en fonction du profil et de l’apport personnel. En fournissant un dossier clé en main à la banque, les conseillers bénéficient d’un argumentaire déjà préparé, d’un calcul de l’endettement déjà établi, y compris pour des professionnels ou auto-entrepreneurs pour lesquels les conseillers sont parfois dépassés. Une banque sollicitée par un courtier sait aussi qu’elle est mise en concurrence et doit proposer les meilleures conditions, dans les meilleurs délais.”
“On gagne du temps en passant par un courtier, c’est sûr !”, affirme Isabelle Venzal, courtier PresseTaux à Poissy. “Parce que le courtier va aller directement là où le profil de l’emprunteur correspond le mieux à la banque. Et cela permet d’obtenir un crédit à des conditions plus avantageuses, surtout sur le TAEG global [coût global du prêt, ndlr] car il faut prendre en compte tous les frais, y compris les économies qui peuvent être faites sur l’assurance et les indemnités de remboursement anticipé qui peuvent faire partie des négociations possibles avec la banque. Faire appel à un courtier, c’est aussi bénéficier d’un accompagnement d’un expert et de conseils techniques. Encore faut-il trouver le bon courtier : il ne faut pas hésiter à aller voir un autre courtier si l’on sent que la relation de confiance n’est pas là. Car la qualité de suivi de dossier est importante, comme le fait de bien savoir gérer le calendrier du dossier de financement. Enfin, en cas de problème lié au taux d’usure, le courtier pourra tenter de négocier une délégation d’assurance qui permette de baisser le taux d’assurance et donc de faire passer le dossier sous le taux d’usure.”
“Dès le premier rendez-vous, le courtier est capable d’avoir une clairvoyance sur le dossier, d’orienter tout de suite les clients vers les banques les plus adaptées à leur profil”, argumente Damien Lagache, courtier PresseTaux à Béthune. “C’est pour ça qu’il gagne du temps et qu’il est efficace, grâce à son expertise métier. Après, il y a courtier et courtier… Il faut savoir choisir le bon professionnel pour se faire accompagner, celui qui assurera un accompagnement du début à la fin jusqu’à la signature chez le notaire, celui s’engagera dans une implication totale et un suivi vraiment personnalisé. Je veille tout particulièrement à maintenir un haut niveau de qualité dans mon travail. Preuve à l’appui, puisqu’à ce jour, PresseTaux Béthune cumule 69 avis et une note de 5 sur 5 sur Google, avec un témoignage récent d’une cliente qui parle de lui-même : “Nous avons rencontré Damien après de nombreux échecs dans le monde du courtage. Damien restera le seul à avoir été honnête et franc sur notre dossier. Nous le recommandons vivement pour ses compétences, sa réactivité et son efficacité. Aucun faux espoir, une réelle connaissance et maîtrise du domaine. Merci, grâce à vous nous allons devenir de jeunes propriétaires.” Cela fait plaisir…”
“En effet, c’est surtout sur la qualité de service que j’insiste”, affirme Christophe Lamand, courtier PresseTaux à Douai. “Pour moi, il y a trois plus-values au fait de passer par un courtier. D’abord, la plus-value de service, en déchargeant administrativement et commercialement le client de son dossier et en l’accompagnant de A à Z ; bref, que tout soit bien fait. Ensuite, la plus-value financière : les courtiers obtiennent de meilleures conditions par leur côté apporteur d’affaires. Enfin, la plus-value technique car le courtier effectue une réelle analyse financière – comprenant une analyse de risque – et une découverte clientèle. Mes connaissances en droit m’amènent aussi à informer les clients, comme les jeunes couples sur des questions relatives au PACS ou encore au testament. Globalement, je ne parle pas de taux mais de trouver une solution de financement dans de bonnes conditions dans un premier temps, c’est-à-dire trouver la banque qui suivra et acceptera le dossier. Quand un client va à la banque de son propre chef, je ne suis pas sûr que les gens bénéficient de ces trois plus-values…”
“Il faut passer du temps et savoir être honnête. Savoir oser dire aux gens que le dossier n’est pas prêt, expliquer le pourquoi, prendre le temps de mettre en place ce qu’il faut. Passer par un courtier, ça permet d’optimiser la possibilité d’avoir un accord de prêt”, rappelle Damien Lagache. “Dans mon activité, je n’ai eu aucun refus de prêt depuis deux ans du fait de la qualité des dossiers que je présente. Grâce à l’expertise, j’ai su argumenter auprès des banques pour mettre en valeur les dossiers. En d’autres termes, le courtier, c’est le prix de la tranquillité… D’autant plus que le coût de son intervention est lissé sur la durée du prêt, c’est quasi indolore ! Et ça génère des économies sur le coût d’assurance, le taux nominal, ce qui va réduire le coût effectif global. Par contre, il faut faire attention au taux d’usure qui fait que les personnes plus âgées se retrouvent exclues du prêt – parfois même dès l’âge de 45 ou 50 ans – à cause de prêts sur des durées trop longues et du coût des assurances, car plus la durée est longue et plus l’assurance devient chère puisqu’elle finance la prise de risque : sur l’âge de l’emprunteur et sur la durée du prêt.”
“La disponibilité et la réactivité d’un courtier sont bien plus importantes qu’avec la banque”, complète Magali Zeller. “Le courtier prend le temps de répondre et d’anticiper les questions de ses clients, alors que le banquier n’aura en tout et pour tout qu’une heure à leur consacrer, pendant laquelle il lui faudra également vendre une assurance habitation ! Par exemple, je travaille aussi énormément par SMS avec mes clients, c’est très souple pour eux : s’ils ont une question un soir en rentrant du travail, ils n’hésitent pas à me la poser et auront très rapidement leur réponse. En tant qu’expert en financement, il m’est déjà régulièrement arrivé de mieux connaître les caractéristiques des prêts que le banquier lui-même : modularité des échéances, taux d’indemnité de remboursement anticipé, modalités de déblocage des fonds, mise en place d’un prêt à taux zéro…”