C’est un constat : les taux bas ont permis aux foyers avec des revenus plus modestes d’accéder à l’emprunt. Ils ont également permis aux acquéreurs plus aisés d’accéder à des biens immobiliers plus chers ou de gamme supérieure. Et ils ont aussi boosté le marché de l’investissement locatif.
À cette question, Benjamin Clément, courtier PresseTaux à Metz, est catégorique : “En effet , les taux bas ont notamment permis l’accès à l’acquisition immobilière à des personnes qui sont au SMIC ou proches de ce revenu et qui pensaient ne jamais pouvoir investir dans la pierre. Et grâce aux taux bas, les taux d’endettement permettent l’acquisition de résidences principales plus proches des critères de sélection des primo-accédants.”