La part des primo-accédants peut atteindre 90 % de la clientèle d’un courtier. Les chiffres le démontrent : les courtiers en crédit négocié du réseau PresseTaux accompagnent de plus en plus de primo-accédants.
Parmi les clients des courtiers en crédit négocié du réseau PresseTaux, la part des primo-accédants avoisine les 30 % pour Cédric Humbert (Chevreuse) ou Isabelle Venzal (Poissy), 50 à 70 % pour Cédric Leroy (Sannois), Marion Nicolas (Nancy), Geoffrey Mazouzi (Reims), Johan Carré (Cambrai) ou Jean-Philippe Journet (Caudry), et atteint même les 80 à 90 % pour Christophe Lamand (Douai), Eric Bossaert (Cambrai) ou Stéphane Fovez (Saint-Étienne) ! C’est dire à quel point ce type de clientèle peut être prépondérant au sein de l’activité des courtiers du réseau.
Les courtiers le constatent quotidiennement sur le terrain, les primo-accédants ont un dénominateur commun : le “manque d’apport”, selon Eric Bossaert. “Cela constitue pour eux un réel obstacle vis-à-vis de beaucoup de banques”, enchaîne Jean-Philippe Journet. “D’un côté, ils font face à un manque d’épargne de précaution ; et de l’autre, à un manque de conseils de la part de leur banquier quant à la bonne préparation de leur projet, d’où l’importance de passer du temps avant de se lancer et de solliciter l’accompagnement d’un professionnel du courtage.”
Cédric Humbert résume le profil type des primo-accédants : “Salariés, en concubinage ou jeunes mariés, sans enfant, 3000 € de revenus mensuels et disposant d’un apport de 5 à 10 000 € environ.” Johan Carré précise que le plus souvent, il s’agit de “couples bénéficiant de deux CDI et d’une bonne gestion de compte”. “La règle n’est pas universelle”, nuance Stéphane Fovez. “Chaque région, chaque secteur a ses spécificités. La durée d’allongement du travail et les capacités de garanties des emprunts ouvrent les portes de la primo-accession au plus grand nombre.”
“L’avantage d’avoir des conventions avec plusieurs établissements bancaires nous permet aujourd’hui d’apporter les meilleures solutions et les meilleurs montages possibles en matière de financement de crédit au bénéfice des primo-accédants”, analyse Jean-Philippe Journet. “Grâce au recul que nous avons du fait du volume de dossiers que nous accompagnons, nous pouvons présenter davantage de dossiers de financement de primo-accédants, et ce dans l’intérêt de nos clients car l’effet volume leur donne plus de poids que si chacun se démenait seul vis-à-vis de sa propre banque.”
Pour Cédric Leroy, le courtier assure un rôle de “coaching dès l’avant-projet, notamment au sujet de la gestion des comptes, de sorte de bien border le financement en amont et de s’assurer de pouvoir bénéficier de conditions optimales. En effet, plus un dossier sera sécurisé et plus il sera attrayant pour nos partenaires bancaires.” “Le courtier sait mettre en avant les points forts des dossiers qu’il défend, dans l’intérêt de ses clients”, constate Geoffrey Mazouzi. Avec un taux de satisfaction client de 95 %, PresseTaux bénéficie d’ailleurs d’un taux de recommandation élevé. “C’est même un facteur important du développement actuel du réseau : parmi nos nouveaux clients, une large majorité d’entre eux ont sollicité les courtiers de PresseTaux suite à un bouche à oreille très favorable”, rappelle ainsi Sébastien Masure, fondateur et dirigeant de PresseTaux.