En bref : Prêt à taux zéro et TVA à 5,5 % dans le neuf, éco-PTZ dans l’ancien rénové, prêt 1 % patronal… Dans un contexte de persistance des taux bas qui facilite l’accès au financement de crédit, les primo-accédants peuvent opter pour du neuf ou de l’ancien. Car en parallèle des taux bas, les courtiers en crédit négocié du réseau PresseTaux mettent surtout en avant le rôle prépondérant des prêts à taux zéro.
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“Sur le terrain, les taux bas et le prêt à taux zéro (PTZ) ont boosté le nombre de dossiers de primo-accédants. L’effort pour passer de locataire à propriétaire est devenu beaucoup plus raisonnable”, observe Cédric Humbert (PresseTaux Chevreuse). “Les taux bas ont été un facteur d’attrait pour les clients. Les agents immobiliers en ont usé pour vendre leurs biens”, ajoute Christophe Lamand (PresseTaux Douai). “En effet, les taux bas ont incité les primo-accédants à se positionner sur un marché enfin favorable à leur égard, aussi bien sur les conditions de financement que sur le prix de l’achat immobilier”, renchérit Geoffrey Mazouzi (PresseTaux Reims).
“Les primo-accédants peuvent avoir droit au PTZ en achetant du neuf et de l’application de la TVA immobilière à 5,5 % au lieu des droits d’enregistrement classiques. Par exemple, pour un même couple, un budget de 280 000 € dans de l’ancien serait porté à 330 000 € dans du neuf”, expose Isabelle Venzal (PresseTaux Poissy). “Il est intéressant d’acheter dans le neuf afin de bénéficier du PTZ et de réduire les futures factures énergétiques”, abonde Cédric Humbert. “Attention néanmoins à ne pas acheter trop cher et/ou dans des immeubles ou les charges vont être exorbitantes.”
Pour Eric Bossaert (PresseTaux Cambrai), le choix de l’ancien avec travaux n’est pas à négliger, puisque cela permet d’avoir recours à l’éco-prêt à taux zéro (éco-PTZ) pour financer des travaux de rénovation énergétique. Le montant maximum accordé est de 30 000 €, remboursable sans intérêt. Pour en bénéficier, le logement doit avoir été construit avant le 1er janvier 1990 et être occupé en tant que résidence principale. “Actuellement, il est plus avantageux d’acheter dans l’ancien avec une grosse part de travaux ou de faire construire car grâce à l’éco-PTZ et au PTZ : le coût total du crédit et la mensualité se retrouvent diminués en conséquence, ce qui permet de faire baisser le taux d’endettement”, explique Jean-Philippe Journet (PresseTaux Caudry). “Il ne faut pas généraliser, mais la cherté du neuf peut être compensée par un plan de financement incluant un PTZ par exemple. Il existe aussi des possibilités dans l’ancien avec le prêt à l’accession sociale (PAS) ou les prêts conventionnés, comme le 1% patronal”, complète Hervé Grain (PresseTaux Antony).
“L’important est de savoir ce que le client souhaite acheter afin de se sentir bien chez lui. De ce constat et en fonction de la situation, c’est au courtier de monter son dossier en prenant en considération les différents bénéfices auxquels le client a droit : prêt 1 % employeur, PTZ dans le neuf ou éco-PTZ dans l’ancien rénové, etc.”, résume Geoffrey Mazouzi. “Un projet immobilier est un projet de vie. Que les clients s’orientent sur de l’ancien ou du neuf, nous mettons tout en œuvre pour qu’ils concrétisent leurs projets dans les meilleures conditions financières. Le cas échéant, nous optimisons le montage, le taux d’emprunt, l’assurance du prêt et le recours aux prêts aidés”, ajoute Cédric Leroy (PresseTaux Sannois).
Mais les taux bas ont aussi leurs limites : “Il arrive que des personnes pensant pouvoir prétendre à des prêts viennent nous solliciter, alors que leurs situations ne le leur permettent pas”, relativise Christophe Lamand. “Nous recevons donc davantage de demandes. Mais parmi elles, nous sommes contraints d’en refuser beaucoup parce qu’elles sont impossibles à traiter, car le refus de financement des banques serait systématique.” “Avec les taux bas, les primo-accédants souhaitent acquérir leur résidence principale à moindre coût en profitant d’un contexte bancaire favorable. Mais cela a également engendré de la précipitation, et donc des achats supérieurs au budget possible”, nuance de son côté Marion Nicolas (PresseTaux Nancy).
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