Les particuliers et les professionnels de la région de Dijon peuvent désormais compter sur les services de Magali Zeller, courtier en crédit négocié, qui y a ouvert une nouvelle franchise PresseTaux au printemps 2018.
Après une expérience de quinze années passées dans le milieu bancaire, Magali Zeller est devenue courtier en crédit négocié et a ouvert une nouvelle franchise PresseTaux à Dijon. Un achat immobilier ou une installation professionnelle, “c’est un moment important dans une vie”. Elle explique : “Les banquiers n’ont pas toujours à leur disposition le temps et les outils pour trouver une solution aux clients qui sortent des critères classiques d’octroi de crédit. Or c’est justement cette gymnastique qui m’intéresse !” Car pour Magali Zeller, chaque projet est “unique et nécessite réflexion”. Et pour ses clients, c’est une relation forcément gagnant/gagnant : “Nos frais étant inclus dans le prêt, le client n’a aucune avance à verser et paie moins cher que s’il était passé en direct avec sa banque.” Sans oublier le fait qu’un courtier amènera son client “vers la banque qui lui correspond le mieux et lui proposera les meilleures conditions”, précise-t-elle. Ce qui tombe bien, car l’agglomération dijonnaise est “attractive” : “C’est à la fois une ville étudiante et le bassin d’emploi principal de la région, à la croisée d’axes de communication majeurs.” Tout comme l’artisanat qui présente “de belles perspectives d’avenir dans cette région plutôt riche, toutes activités confondues”. “Spécialisée sur le marché des professionnels, des agriculteurs et des viticulteurs”, les professionnels ont tout intérêt à solliciter ses services : “Dans l’exemple d’un rachat d’entreprise, mon expérience d’analyste de crédit me permet d’avoir l’œil pour instruire au mieux les projets de mes clients et veiller à ce qu’ils se réalisent sans anicroche ni perte de temps.”
Quels clients ciblez-vous et quels sont les différents types de prêts que vous proposez ?
Mon cœur de clientèle est une clientèle active, que ce soit pour un premier achat immobilier, un prêt relais, une résidence secondaire ou encore un investissement locatif. Certains de mes clients viennent également me voir dans le cadre d’un rachat de soulte [NDLR : le rachat de soulte a lieu le plus souvent au moment d’un divorce ou d’une succession, quand une personne veut racheter la part des autres dans un bien en indivision]. L’autre part importante de mon métier concerne le financement de prêts professionnels : il s’agit alors souvent de rachat de fonds de commerces existants.
Y a-t-il un type de clientèle avec lequel vous affectionnez particulièrement de travailler ?
Un achat immobilier, tout comme une installation professionnelle, c’est un moment important dans une vie. Ce que j’aime dans mon métier, c’est optimiser le dossier de mes clients en fonction de leurs souhaits et de mon expérience de spécialiste afin de leur proposer le meilleur montage, aux meilleures conditions et dans des délais qu’ils n’auraient généralement pas pu avoir s’ils avaient dû faire seuls l’ensemble des démarches relatives à leur dossier de financement. Par ailleurs, j’ai mis en place un partenariat avec des écoles de judo afin d’aider de jeunes professeurs d’arts martiaux à accéder à la propriété.
Quand certains dossiers peuvent paraître difficiles, notamment ceux de clients qui font face à des refus de la part de banques classiques, en quoi êtes-vous motivée de les accompagner à trouver une solution de financement ?
Pour y avoir longtemps travaillé, je sais que les banquiers n’ont pas toujours à leur disposition le temps et les outils pour trouver une solution aux clients qui sortent des critères classiques d’octroi de crédit : dossiers sans apport, durées longues, CDD, intérimaires, normes d’endettement légèrement dépassées… Or c’est justement cette gymnastique qui m’intéresse ! Les solutions peuvent être diverses. Par exemple, mes relations me permettent de travailler avec des établissements plus spécialisés, il est possible de regrouper certains crédits pour alléger la charge actuelle et permettre à mes clients d’emprunter pour leur projet, etc. Chaque projet est unique et nécessite réflexion.
Mettons-nous à la place d’un particulier ou d’un professionnel qui a besoin d’emprunter pour financer son projet. Quel est l’intérêt pour lui de faire appel à PresseTaux ?
En passant par PresseTaux, le client va pouvoir charger un spécialiste de s’occuper de son dossier, de veiller à ce que tout se déroule rapidement, sans mauvaises surprises et surtout à des conditions tarifaires fortement négociées. Nos frais étant inclus dans le prêt, le client n’a aucune avance à verser et paie moins cher que s’il était passé en direct avec sa banque. C’est un gain de temps important pour lui car il n’a pas à faire le tour des banques et prendre par exemple de multiples congés pour cela. De plus, en faisant appel à des spécialistes, le dossier qui va être présenté en banque sera traité bien plus rapidement que si le conseiller devait instruire seul l’ensemble du dossier. Le client est également assuré de ne pas passer à côté de certains avantages comme les prêts à taux zéro (PTZ) : il manque parfois peu de choses pour être éligible, le courtier PresseTaux y veillera. Enfin, en passant par PresseTaux, le client est également garanti de l’objectivité de son courtier. Celui-ci l’amènera vers la banque qui lui correspond le mieux et lui proposera les meilleures conditions. Ce sera parfois la propre banque du client, mais les conditions proposées seront négociées plus fortement que si le client avait vu lui-même son banquier en direct.
Vous avez ouvert votre franchise à Dijon. Quel en est le contexte immobilier et quelles en sont ses spécificités ?
La région dijonnaise est attractive. C’est à la fois une ville étudiante et le bassin d’emploi principal de la région, à la croisée d’axes de communication majeurs. Le marché immobilier est toujours extrêmement dynamique. La baisse du prix de l’immobilier qui a eu lieu il y a quelques années a permis de retrouver des prix plus cohérents permettant à nouveau aux ménages d’accéder à la propriété. Le marché s’est maintenant plutôt stabilisé, en particulier dans les logements récents. L’an dernier, le nombre de transactions a fortement augmenté et les délais de vente se sont raccourcis, les acheteurs recherchant moins la négociation. Pour les investisseurs locatifs, le marché dijonnais présente des prix d’entrée plus accessibles qu’à Lyon. Malgré la baisse des loyers des petites surfaces, la rentabilité reste intéressante.
Quelles sont les zones géographiques où une jeune famille peut par exemple avoir encore accès à l’immobilier dans la région de Dijon ?
Le secteur de Dijon reste une région chère pour une jeune famille même si cet aspect a été atténué par la baisse des prix qu’a connu le marché immobilier ces dernières années et qui a permis de retrouver des prix plus cohérents avec le niveau de vie. Les quartiers les plus prisés se situent globalement au Nord et à l’Est de la ville : Montchapet, la Toison D’Or ou encore Université, avec des prix moyens de 2 200 € le mètre carré. Toutefois, le quartier Clemenceau, plus vieillissant, présente des prix d’entrée plus abordables. De même au niveau du Grand Dijon, à Talant, Quetigny ou Fontaine-Lès-Dijon : ces villes permettent d’accéder plus facilement à la propriété. Un peu plus loin, les zones à forte demande s’étendent maintenant jusqu’à Is-sur-Tille, Genlis, la vallée de l’Ouche et même Sombernon et l’Auxois.
En tant que courtier, les professionnels peuvent-ils également solliciter vos services ?
Effectivement, je suis spécialisée sur le marché des professionnels, des agriculteurs et des viticulteurs, lesquels sont au cœur de mon métier depuis quinze ans. Localement, l’artisanat présente de belles perspectives d’avenir dans cette région plutôt riche, toutes activités confondues. Les services à la personne, secteur novateur, sont également en pleine expansion, y compris en secteur rural. Dans l’exemple d’un rachat d’entreprise, mon expérience d’analyste de crédit me permet d’avoir l’œil pour instruire au mieux les projets de mes clients et veiller à ce qu’ils se réalisent sans anicroche ni perte de temps. Beaucoup de paramètres doivent être pris en compte : expérience et patrimoine du dirigeant, santé et qualité de l’entreprise rachetée, confirmation du bien-fondé du prix de vente, cohérence du prévisionnel, fiscalité… Pour moi, il est primordial d’expliquer avec beaucoup de clarté ces éléments au futur entrepreneur. C’est ce que mes clients ont toujours fortement apprécié jusqu’à présent. Les banquiers sont également très demandeurs de mes prestations car ils bénéficient alors d’un dossier clé en main et argumenté qui leur permet de gagner un temps conséquent dans l’instruction et la prise de décision. Ils savent aussi qu’ils sont mis en concurrence, ce qui est la garantie d’obtenir des conditions tarifaires dérogatoires et des frais annexes minimes, par exemple au niveau des garanties bancaires limitées au nécessaire et des frais de dossier.